Réseaux sociaux, une pause s’impose
Les réseaux sociaux sont chronophages (qui demande beaucoup de temps). Du moins pour moi.
J’ai beaucoup d’idées de projets, d’envies, mais je reporte sans cesse.
Pour plusieurs raisons :
La peur de l’échec. Pourtant c’est en forgeant que l’on devient forgeron. Que personne ne naît en sachant tout faire, on apprend de nos erreurs. Je le sais que trop bien, mais j’ai un rapport avec la peur de l’échec qu’il faut que je change?
Le fait d’être interrompue par mes monstroplantes. Pourtant il y a des choses que je peux faire qui peuvent être mises en pause le temps de l’interruption…
Ne pas savoir pas quoi commencer. Il faudrait que je liste ce que j’aimerai faire (article à venir d’ailleurs) afin de décortiquer un peu plus…
Le ‘besoin » d’interagir avec les autres, vous. Sauf que je ne suis pas obligée de répondre dans la minute, ni dans l’heure.
La fainéantise. Cette paresse qui me tend les bras tellement souvent ! Hop, coup de pied au postérieur (façon de parler, nous sommes d’accord) et faut se bouger pour accomplir des choses!!
Et surement d’autres choses d’ailleurs…
Du coup, j’ai tenté le « 24h sans réseaux sociaux ».
Afin de ne plus avoir mon mobile greffé à ma main (oui il est limite une extension de mon bras…).
Honnêtement j’appréhendais, beaucoup… J’ai posté ce « projet » sur les réseaux sociaux justement, je pense pour avoir du soutien, en plus de prévenir de mes non réponses.
J’ai commencé mercredi à 20h. Au préalable, j’ai désactivé les notification sur mon mobile. Certaines personnes désinstallent les applications. A chacun sa méthode 😉
Le soir, cela s’est plutôt bien passé, devant Harry Potter VI (on se les refait, et ouawww j’aime beaucoup!!! Et oui, je n’étais pas une grande fan, bon je ne le suis pas beaucoup plus aujourd’hui, mais j’ai apprécié vraiment, plus que la première fois que je les ai vu!) donc le temps est passé rapidement.
Le lendemain, assez patraque, je suis restée alitée la matinée devant une série. Pas de notifications, pas de tentations donc!
L’après-midi, avec musique, goûter, préparation du repas, jeu avec mes petits, pas de temps réellement pour me demander si cela me manquait !
Le soir, repas en famille puis couché des petits.—> les 24h étaient passées.
L’appréhension que j’avais était bien plus grande que ce que j’ai vécu.
Alors certes je n’ai pas eu d’échanges sociaux, pas de discussion avec des adultes. Mais cela ne m’a pas manqué.
Je pense donc instaurer des plages horaires (flexibles) afin de ne pas couper toutes relations « sociales » non plus mais pouvoir faire autre chose surtout.
Parce que oui, j’étais vraiment à un point où je ne faisais pas grand chose de mes journées, j’en culpabilisais!
Et toi, quelle est ta relation avec les réseaux sociaux? Es-tu « addict » ou sais tu t’en passer?
2 commentaires
ladybutterfly
Je devrais suivre ton exemple en me donnant des horaires fixe. Ce que je fais déjà le matin quand je veux aller a la salle de sport par exemple.
Mais on devient vite happé pour pas grand chose en fait
MumDolce
Oui… je ne m impose pas d horaires encore, je trouve un équilibre pour le moment..: